Les droits de la marraine : son vrai rôle juridique 

La marraine, a-t-elle concrètement de vrais droits sur le filleul ?

Nous t’avons choisi afin d’être la marraine de notre enfant, acceptes-tu ? Parfois, l’interrogation est accueillie par une joie indescriptible par la personne personne concernée, cependant, cette dernière peut se poser des questions sur la nature de cet engagement et les droits attribués par rapport à cette mission qui n’est pas des moindres.

Les droits de la marraine, un réel engagement

Déjà engagée à bien choisir les cadeaux du baptême de votre enfant en s’organisant avec le parrain, entre la médaille de baptême, la chaîne de baptême, la gourmette de baptême sous le symbole de la croix de baptême, la marraine donnera un engagement plus important encore. Cet engagement est moral, il consiste à accompagner l’enfant baptisé dans une démarche de foi et d’évolution, une mission particulière qui tend à l’enseignement spirituel, tout le sens englouti du baptême religieux, où la marraine est vouée à être :

Une sorte de mentor spirituel.

Une éducatrice.

Une personne qui seconde les parents en cas de difficultés.

En résumé, guider l’enfant dans le sentier droit de la vertu, à l’instar du baptême religieux, la marraine a le même rôle dans le baptême civil, même si l’engagement est un peu différent puisqu’il exclut le caractère pieux. Cependant, la marraine a le devoir d’inculquer les valeurs de la république et d’assister les parents dans l’éducation du filleul, dans les deux sortes de baptêmes, être marraine ne vous ouvre aucun droit sur l’enfant, puisqu’il reste un titre sans valeur juridique. Par conséquent, il n’impliquera, en aucun cas, un document officiel qui signifiera l’autorité de la marraine sur l’enfant baptisé.

Si les devoirs imposent les droits en règle générale, le cas contraire peut être dans l’exception d’être, par exemple, une marraine, une personne exceptionnelle à vos yeux qui guidera la prunelle de vos yeux, votre enfant.


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